26 janvier 2010
Lacunes
Hier en accompagnant Siruss prendre son train, j'ai croisé une jeune femme aux traits asiatiques, sautillante et riante comme le printemps. J'ai admiré que le froid n'empêche pas ce printemps de vivre.
Pour ma part, le froid glacial m'enkilose. Depuis un mois, je suis comme anesthésiée.
J'ai l'impression d'avoir apercu en voyant cette femme une vérité importante et inexplicable.
En fait, ce post ne veut rien dire et n'a ni queue ni tête. En fait, je suis juste insatisfaite de moi-même. En fait, je m'en veux de ne pas être en train de travailler en ce moment.
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